« Elle a dit [la Sainte Vierge NDLR], aussi bien à moi-même qu’à mes cousins, que Dieu donnait les deux derniers remèdes au monde: le saint rosaire et la dévotion au Cœur Immaculé de Marie et ceux-ci étant les deux derniers remède cela signifie qu’il n’y en aura pas d’autre. »
« Toujours dans les plans de la providence, lorsque Dieu va châtier le monde, il épuise avant tous les autres recours. Or comme il a vu que le monde n’a fait cas d’aucun [confère le Sacré Cœur ndlr], alors, comme nous dirions dans notre façon imparfaite de parler, il nous offre avec une certaine crainte le dernier moyen de salut, sa Très Sainte Mère. Car si nous méprisons et repoussons cet ultime moyen , NOUS N’AURONS PLUS LE PARDON DU CIEL PARCE QUE NOUS AURONS COMMIS UN PECHE CONTRE L’ESPRIT SAINT, QUI CONSISTE A REPOUSSER OUVERTEMENT EN TOUTE CONNAISSANCE ET VOLONTE LE SALUT QU’ON NOUS OFFRE. »
Le pape Pie XII dira à la même époque dans son encyclique sur le Sacré Coeur:
« Celui qui manifestement sous‑estimerait ce bienfait donné par Jésus‑Christ à l’Église agirait mal et témérairement, et offenserait Dieu lui‑même. »